Hospitals
in Greece are under the auspices of three different ministries:
Education, Health, and Defence. Some of them are combined under the
guidance of Education and Health, where Education means University
and a substantial amount of the budget is spent on reserach and
education of the medical students. The hospitals under the umbrella
of the Ministry of Defence are open only to military personnel and
their families and are divided per military force: airforce, navy,
etc. A number have been built via donations from famous and rich
citizens and they bear the name of their respective donors eg.
Papanikolaoy, Papageorgiou, Metaxa etc. There is also a number of
private hospitals with a very high standard of facilities including
personnel and health services, the best example being the Onassis
Cardiochirourgical center.
Generally
hospital budgets are relatively low if compared to Western European
countries and libraries always receive the left-overs in this case.
In our experience there are no hospital libraries with a library
system and they are always understaffed with very few exceptions
like the Evangelismos Hospital and the G. Gennimatas General
Hospital of Athens. In contrast to this situation the education
level of the librarians is relatively high, a situation which
creates much frustration when one has the knowledge but not the
means! According to Greek law, state institutions must have annual
tenders for their supplies and therefore the majority of hospital
libraries have a tender every year for their book and periodicals
collections. Because of the bureaucracy tenders are announced late
in the year or even at the beginning of the next year and the
consequences are shown in the uncompleted collections, missing
issues and the number of claims.
Regarding
the development of their electronic equipment and collection, all
hospitals subscribe to Medline on CD-Rom mostly on a standalone
basis and over the past years they have shown great interest in
having access to on-line full text journals. However because of the
lack of network facilities on their premises most have been unable
to achieve this yet. Even though this lack of such important aspects
in this modern electronic era, is apparent, hospital libraries do
offer a high standard of work and services to their users. They also
help each other with interlibrary loans and even provide assistance
to university and other governmental institutions. Personalities
such as the Library Director of The General Hospital of Athens, Mrs
K. Apaki, Mrs L. Lappa of KAT and many others, are already setting
an example for the new generation of librarians with the message
that hard work someday will pay off. Let us hope that soon the Greek
government will soon realise their important role in the Hospital
family and indeed to the general public.
Diogenes
Kalogeridis
Sales Manager
SWETS Netherlands
E-mail:dkalogeridis@swets.nl
Contents
No. 50
Regard
sur la Grèce,
les bibliothèques d’hôpitaux en Grèce
Les hôpitaux
en Grèce sont sous la direction de trois ministères différents:
Education, Santé, et Défense.Certaines bibliothèques sont regroupées
sous la direction de l’Education et de la Santé, Education
signifiant Université et un montant appréciable du budget est
destiné à la recherche et à l’éducation des étudiants en médecine.
Les hôpitaux
sous l’ombrelle du Ministère de la Défense ne sont ouverts
qu’au personnel militaire et à leurs familles et sont organisées
selon la force militaire, aviation, marine, etc.
Certains
ont été construits par des dons de familles riches et portent le
nom du donateur, par ex. Papanikolaoy, Papageorgiou, Metaxa, etc.
Il existe
aussi plusieurs hôpitaux privés avec des standards très élevés
pour le personnel et les services, comme par exemple le centre
cardiochirurgical Onassis. Généralement les budgets des hôpitaux
sont relativement peu élevés en comparaison avec les pays de
l’Europe occidentale et dans ces cas les bibliothèques sont les
laisser pour compte. Selon notre expérience, il n’y a pas de
bibliothèques d’hôpital avec un système intégré et le
personnel est toujours insuffisant avec peu d’exceptions comme
l’Hôpital Evangélique et le G. Gennimatas à Athènes. Par
contraste le niveau de formation des bibliothécaires est élevé,
une situation qui crée des frustrations lorsque l’on a les
connaissances mais pas les moyens.
Selon la
loi Grecque, les institutions d’Etat doivent présenter une
demande pour leurs fournitures et c’est pourquoi chaque année les
bibliothèques d’hôpitaux doivent faire une demande pour leurs
abonnements de périodiques et achats de livres.
A cause de
la bureaucratie, les formulaires de demandes sont annoncés tard
dans l’année, voire même au début de l’année suivante et les
conséquences sont évidentes dans des collections incomplètes,
avec des numéros manquants et un nombre de réclamations.
En ce qui
concerne le développement de leur équipement électronique et de
leur collection, tous les hôpitaux souscrivent à Medline sur
disque compact, comme station individuelle et au cours de ces dernières
années, un intérêt marqué s’est manifesté pour l’accès en
ligne des journaux à texte complet. Toutefois, due au manque d’acès
au réseau, peu de bibliothèques ont pu réaliser ce projet.
Malgré
l’absence de certains importants aspects de l’âge électronique,
les bibliothèques d’hôpitaux sont de hauts niveaux et offrent
des services de qualité à leurs lecteurs. Il y a une entr’aide
pour le prêt interbibliothèques et même de l’aide offderte aux
universités et institutions gouvernementales. Des personnalités
telles que le Directeur de la bibliothèque de l’Hôpital Général
d’Athènes, Mrs K. Apaki, Mrs L. Lappa de Kat et bien d’autres,
montrent l’exemple pour une nouvelle génération de bibliothécaires
avec le message que un travail acharné peut payer un jour ou
l’autre. Espérons que le Gouvernement Grec réalisera bientôt le
rôle important des bibliothèques pour un hôpital de famille et en
fait pour le public en général.
Diogenes Kalogeridis
Sales Manager
SWETS Netherlands
E-mail:dkalogeridis@swets.nl
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No. 50 |